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Fontainebleau

Le Bataillon de Joinville

Un peu d'histoire : le 15 juillet 1852, l'Ecole Normale Militaire de Gymnastique de Joinville-le-Pont ouvre ses portes. I Installée à la Redoute de la Faisanderie, près de Joinville-le-Pont (le porche préservé est conservé à l'INSEP où il sert de monument du souvenir), l'école a pour missions :

- de former des moniteurs et instructeurs de gymnastique pour les écoles militaires et corps de troupe

- de former des maîtres d'armes pour l'enseignement de l'escrime (surtout après 1872)

- d'étudier les perfectionnements à apporter aux méthodes de l'education corporelle et de l'escrime et d'en expérimenter les procédés (surtout à partir de 1902)

 

En 1925, par décision ministérielle, elle devient Ecole Supérieure d'Education Physique et poursuit ses missions en faveur d'une éducation physique civile et militaire.

En septembre 1939, elle ferme ses portes mais trouve des prolongements dans le monde civil et militaire, en zone libre puis en A.F.N.

Après la guerre, l'Institut National des Sports est créé près de Joinville dans le Bois de Vincennes. Cet institut civil oeuvre alors parallèlement à l'Ecole d'Entraînement Physique et Militaire implantée d'abord à Pau et à Antibes. Installée en 1947 à la Redoute de la Faisanderie, le Groupement Sportif Interarmées donne naissance au Bataillon de Joinville en 1956 qui devient en 1963 Ecole Interarmées d'Entraînement Physique et des Sports. En 1967, l'Ecole s'installe à Fontainebleau et regroupe les Ecoles Militaires d'Entraînement Physique.

L'INSEP et l'EIS sont les établissements héritiers de l'Ecole de Joinville.

 

Pendant 35 ans, les athlètes du bataillon de Joinville et les stagiaires du bataillon d'Antibes ont poursuivi l'action de leurs anciens en donnant un éclat toujours plus vif au blason du sport français.

 

Sur la demande de l'un de ses supérieurs, et après décision de maintien en service, le Capitaine LAHERRÈRE quitte la Caserne Filey à Nice pour Fontainebleau où il arrive le 15 juillet 1970.

 

Trombinoscope

Trombinoscope

Bataillon de Joinville

Appelés du 70/08 au 71/06

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Roger BAMBUCK et Alain MOSCONI avec le Capitaine Jean LAHERRERE

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« Mon départ du Bataillon de Joinville »

Le 1er septembre 1971, le Capitaine Jean LAHERRÈRE  est muté au G.M.R. n° 7 à Marseille.

Par décret du 22 décembre 1971, il est promu au grade de Chef de Bataillon à compter du 31 décembre 1971.

Le 29 février 1972, il est admis à faire valoir ses droits à pension de retraite, après 25 ans de service. Retiré avec sa famille à Vence (Alpes-Maritimes), il est rayé des cadres de l'armée à compter du 1er avril 1976, et admis à l'honorariat de son grade.

 

Après une carrière militaire exemplaire qui lui valut les plus hautes distinctions, le Chef de Bataillon Jean LAHERRÈRE se retira de la vie militaire le 1er juillet 1972, après plus de 27 ans de service. Il se consacra à des activités civiles, et occupa la plus grande partie de ses loisirs à sa passion, le cyclisme. Il avait d'ailleurs été le fondateur du Cyclo-Club d'Antibes.

S'étant retiré à Vence avec sa famille, il y décède, entouré des siens, le 25 octobre 2003, à l'âge de 81 ans.